Dans les années 50, le Placenta humain a fait l’objet de plusieurs études réalisées dans le service de dermatologie de l’hôpital lyonnais l’Antiquaille.
A cette époque, le Placenta était utilisé dans une crème, la Crème régénératrice et hydratante Placentor, pour réparer la peau des grands brûlés.
Le Dr Bernard Guillot, passionné de botanique, entreprit de nombreuses recherches sur le Placenta et découvrit une substance végétale équivalente : le Placenta Végétal aux bienfaits exceptionnels pour la peau.
Toléré par les peaux les plus sensibles, cette découverte extraordinaire, le Placenta Végétal, fut à l’origine de la première marque de phytodermatologie appliquée : Placentor Végétal.
S’appuyant sur la gemmothérapie - phytothérapie par les bourgeons - le Placenta Végétal puise son efficacité dans les nutriments essentiels (acides aminés, peptides, sels minéraux) contenus dans des tissus végétaux à l’état natif. Situé sous le pistil des jeunes plantes, le Placenta Végétal joue le rôle de liquide nourricier, en alimentant le fruit pendant sa croissance.
Il a été prouvé in vitro qu’en présence de Placenta Végétal, la cellule est stimulée : elle consomme plus d’oxygène, ce qui lui permet de synthétiser plus de protéines (comme le collagène ou l’élastine). Le Placenta Végétal a notamment une très haute teneur en proline/hydroxyproline, couple d’acides aminés intervenant fortement dans le processus de synthèse du collagène.
En 2012, une nouvelle étude a été menée dans le but d’objectiver l’effet réparateur du Placenta Végétal présent dans les produits dermatologiques Placentor Végétal. La PIE a été mesurée (Perte insensible en eau qui est un indicateur de la fonction barrière de la peau) à l’état de surface de la peau et il a été démontré de manière significative que les soins dermatologiques au Placenta Végétal ont un effet réparateur sur la peau dès 2 jours.
*Etude clinique Dermscan, juin 2012, étude versus Placebo réalisé sur 18 volontaires pendant 11 jours d’application bi-quotidienne